Aujourd’hui ces théoriciens du genre ont pour objectif de créer un « homme nouveau », plutôt un être nouveau, ni homme ni femme, né de Matrix. Autrefois c’était Jésus qui était né de Marie, la femme nouvelle, la « nouvelle Eve » qui avait donné naissance à Jésus, « l’homme nouveau », « nouvel Adam », comme il est dit dans l’Évangile. Il avait réconcilié l’homme avec Dieu, tout en respectant le plan de Dieu pour la Création et l’ordre naturel. En ce début de siècle, l’idéal des tenants de la théorie du genre semblerait être de ne plus avoir à porter soi-même un enfant, mais de le faire porter par une machine comme dans Matrix (puisque nous sommes au début des organes artificiels, à l’image du cœur artificiel qui vient d’être essayé sur l’homme en 2014) ou provisoirement par une autre femme, une « mère porteuse », dit-on, une location de ventre. On sera ainsi dans « le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley, dans le film Matrix, dans un monde nouveau où on aura éliminé tout le naturel au profit d’une société où tout l’artificiel sera dominant. Certains pourraient penser que -selon le proverbe « chassez le naturel, il revient au galop » - on aurait beau faire, que le naturel a la vie dure et qu’on ne contraindrait pas longtemps la nature. Cependant l’objectif est d’appliquer la théorie du genre, de l’enseigner, de la faire pratiquer aux enfants et dès le plus jeune âge. Les garçons jouant à la poupée dès l’école maternelle tandis que les filles auraient droit aux petites voitures, etc. En leurs faisant lire des livres écrits spécialement pour des enfants (et sélectionnés par le Ministère de l’Education nationale ): « J’ai 2 papas qui s’aiment », « Papa porte une robe », « Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi », etc. Et ce dès la maternelle et les classes du primaire. Bien entendu ça n’aura pas beaucoup d’influence pour une majorité d’enfants qui un jour ou l’autre rejetteront cette théorie du genre et rejetteront le viol de la conscience qu’on veut leur faire subir. Parce qu’il s’agit bien d’un viol de la conscience de ces plus petits enfants -même avant l’âge de raison- à qui on veut enseigner des choses qui sont en réalité contre nature et contre le bon sens.
Mais il se trouvera quand même une minorité d’enfants, qui plus fragiles, plus sensibles que les autres auront été influencés et troublés dans leur développement humain, affectif et sexuel. C’est ainsi que l’on voit -pour contrecarrer ces influences néfastes- l’importance de l’Amour de parents équilibrés pour les enfants. Nombre de ces jeunes qui plus tard vont se droguer, fuguer, devenir SDF, etc. sont des enfants qui auront été, plus petits, blessés dans l’Amour, blessés dans cet équilibre naturel. Ils reproduisent le pire. La joie et le bonheur ils ne l’ont pas connu enfants, ils n’ont pas connu cet équilibre du « berceau de l’Amour » qu’est la famille. Et pour apaiser leurs blessures, ils vont rechercher le paradis… mais un paradis artificiel par la drogue, l’alcool, la musique extrême, l’addiction sexuelle, etc. C’est pourquoi on ne peut pas dire que le fait d’intoxiquer, de violer la conscience des plus petits dès la maternelle, dès l’école primaire sera sans conséquences pour les plus fragiles de ces enfants. Qui risquent eux aussi d’être blessés dans leur intimité, blessés dans leur sexualité, blessés dans leur être profond et ne plus savoir à quelle boussole se fier quand ils seront grands. C’est pourquoi il est important aujourd’hui de dénoncer cette « théorie du genre » qui va contre la nature et le simple bon sens. Chaque être humain a une conscience et avec sa conscience il y a le bon sens et aussi le naturel. A l’heure où on promeut l’écologie et un retour à la nature, certains tentent d’éradiquer la nature dans l’être humain, dans le mariage homme-femme, dans la sexualité, dans le fait qu’un garçon est un garçon, une fille une fille, et que de l’union des deux naîtra un Amour et de nouvelles vies. Ils essayent d’éradiquer tout ce qui est naturel pour nous mener à l’artificiel. Le chemin de la joie et du bonheur *est effectivement l’attente de chaque être humain, puisque chacun a cette aspiration au paradis. Avec peut-être dans les yeux le souvenir ancien d’un paradis terrestre, on aspire à *un nouveau paradis. Mais aujourd’hui la société de consommation, la société qui met tout sens dessus dessous, depuis cette Révolution de Mai 68 (qui a fait exploser ces théories du féminisme et du lobby gay) essaye de nous faire oublier les chemins du réel et du naturel pour un paradis artificiel et contre nature.
Pour en finir avec la théorie du genre, « chassez le naturel » -c’est ce que vous avez voulu faire- et bien faisons le « revenir au galop » !