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de petites « Poussières d’étoiles », pour qu’au lendemain de cette crise nous soyons vraiment guéris, sans faire de rechute… ( 1ère partie )


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URGENT ! COMMENT GUERIR DE LA CRISE DU CORONAVIRUS…(1e)

de petites « Poussières d’étoiles », pour qu’au lendemain de cette crise nous soyons vraiment guéris, sans faire de rechute… ( 1ère partie )


A la fin de la Première Guerre Mondiale mon grand-père a survécu à la grippe espagnole qu’il avait contractée (il a eu tout au long de sa vie une petite pension militaire à cause de cette maladie). Un siècle après j’espère bien, comme la plupart d’entre vous – avec la grâce de Dieu - survivre à cette nouvelle épidémie mondiale. Mais voici quelques réflexions, de petites « Poussières d’étoiles », pour qu’au lendemain de cette crise nous soyons vraiment guéris, sans faire de rechute… (Vous avez aussi une version audio ci-joint.)

LE CORONAVIRUS ET LE VEAU D’OR

« Nous sommes en guerre », telle est la phrase répétée, même par le Chef de l’Etat français, qui caractérise la situation de notre monde d’aujourd’hui. Un petit virus « couronné » (comme le dit le mot coronavirus) est à l’origine de cette guerre que nous menons aujourd’hui ici en France et à travers le monde entier. Comment un petit virus peut-il déstabiliser toutes nos sociétés occidentales, si bien équipées, si bien « préparées », si bien mondialisées ? Un petit virus beaucoup moins mortel que les grandes épidémies des siècles passés (peste, choléra, grippe espagnole) comment se fait-il que nos économies soient à l’arrêt, que nous soyons confinés comme si nous étions sous un bombardement pendant la dernière guerre mondiale ?

LE VEAU D’OR AUX SABOTS D’ARGILE…

La mondialisation fait que nos économies sont totalement dépendantes les unes des autres : dépendantes du commerce international dont un tiers vient de Chine. Qui fut le point de départ de cette grande épidémie. Ce qui eut pour effet d’arrêter une grande partie du commerce mondial. Et au bout de la chaîne en France nombre d’usines ne peuvent plus fonctionner puisqu’un certain nombre de leurs pièces détachées venait de Chine. Les bourses mondiales se sont mises à s’effondrer avec l’arrivée de cette pandémie en Europe et aux États-Unis. Les bourses ont vu plus d’un tiers de leur valeur se volatiliser. Et ce n’est que le début… Les milliardaires ont perdu des milliards et l’économie est à l’arrêt pour plusieurs mois. Cette mondialisation est un jeu de dominos, chaque élément touche l’autre et une pandémie, par exemple, fait s’effondrer une partie de cette économie mondialisée.

Cette crise sanitaire (la plus grande depuis un siècle et la grippe espagnole) qui devient aussi économique permet enfin à beaucoup d’observateurs de poser les vraies questions. Ne serait-il pas indispensable de relocaliser les masques, les médicaments de base, les produits de première nécessité, dans le cadre protecteur de notre nation. On retrouve la valeur de la nation, vers laquelle tous se replient en temps de crise, parce que c’est la plus grande et protectrice communauté humaine naturelle, une amitié au service du bien commun. Et non un grand « machin » ouvert à tous vents et au service d’on ne sait qui. Relocaliser donc les biens essentiels plutôt que de les produire à l’autre bout du monde, en Chine par exemple, pour le plus grand profit de quelques milliardaires (et au détriment de l’emploi national). Dès qu’un grain de sable grippe le mécanisme de la fabrication en Chine ou du transport - ce qui est le cas avec ce coronavirus - et toutes nos économies occidentales sont bloquées. On se pose à présent la question du retour de ces éléments économiques fondamentaux vers nos pays. La réimplantation, la relocalisation de tout ce qui est vital à l’économie et à l’indépendance d’une nation. Ce n’est plus un monde ouvert à tous vents (et à toutes les tempêtes) qui devrait être le modèle, mais un monde où on s’enracine à nouveau, où - pourquoi pas – « vivre et produire aux pays » (un vieux slogan de Mai 68, un des rares qui fut réaliste) deviendrait la règle. A l’époque c’était une espérance, mais que l’on a vite oubliée ou sacrifiée sur l’autel de la société de consommation, de la société où l’argent est roi et où l’on adore le « veau d’or ».

« Veau d’or » qui est aujourd’hui à terre. Un « veau d’or » aux sabots d’argile pour lequel il a suffi d’un tout petit élément vivant, un virus pour qu’il s’effondre. Toute la société d’aujourd’hui, la société occidentale - des États-Unis à l’Europe – ainsi que la Chine (la fabrique du monde) repose sur le principe de « la société de consommation ». Et le moteur de la société de consommation c’est l’argent et l’on adore le veau d’or. Le tout au profit de quelques milliardaires qui en sont les principaux bénéficiaires. Puisque, par exemple, 26 milliardaires possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de l’humanité (cf. étude Oxfam 2019). Dans ce système de la mondialisation libérale ce sont à chaque fois des milliards qui vont aux milliards.

Les Hébreux adoraient ce veau d’or au pied du Mont Sinaï, il fut abattu par Moïse. Aujourd’hui à nouveau ce veau d’or est à terre : ici c’est la société de consommation qui est en panne, à l’arrêt la plupart des commerces internationaux, les commerces locaux ont fermé (sauf alimentation ou exceptions). L’argent disparaît lui aussi puisque le système nerveux de cette société de consommation sont les établissements financiers et la bourse qui a perdu déjà plus d’un tiers de sa valeur en moins de 2 mois. Et la crise est loin d’être finie. On en a encore pour de longues semaines, de longs mois…

C’est mondialisation est sur pause… Les échanges mondiaux sont quasiment stoppés, nous somment à l’arrêt dans toute la société de consommation. A l’arrêt aussi cet appétit du gain, cette volonté de gagner toujours plus, d’avoir toujours plus de milliards. Jusqu’à cette crise, la fortune des milliardaires augmentait de 2,2 milliards d’€/jour. Même les milliardaires ont perdu un tiers ou plus de leur fortune.

COMTE DE FRANKENBOURG

A VOIR AUSSI LA 2e PARTIE SUR CE SITE : texte du lien ici



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